Nous sommes 12 au départ de cette marche réputée difficile à Essertines. Il fait un temps adéquat pas trop chaud , pas trop froid, pas de bise ou vent : un temps à marcher !!!

Un escalier qui semble monter au paradis, mais nous attendrons encore un peu.

Nous avons pris la marche à rebours et commençons donc par la grande descente vers la chapelle Saint Etienne. La prudence est de rigueur afin d’éviter "les figures libres".

Les cloches de la chapelle sont rénovées, les ouvriers ont oublié leur écrase-purée. Une pieuvre du Vizézi contrôle les entrées: gare aux resquilleurs.

Quand on assiste à une telle entente: on immortalise l’instant.

Fini la descente, nous arrivons au bord du Vizézi qui avec les pluies ou neiges des jours précédents a belle allure.

La croix des "argnats" on dirait aujourd’hui bubons ou furoncles. Il suffisait de se frotter à la croix pour que ces ennuis disparaissent (parait-il).

Une yourte ici : la maison type des steppes au dessus de Chamdieu !!!

Deux vues de la steppe qui nous entoure avec Chamdieu à l’horizon et la Madone que nous avons vue il y a 15 jours.

Comme sur le tour de France, nous avons, nous aussi, notre public.

Un petit en-cas en cours de chemin ou simple arrêt sont les bienvenus.

Un magnifique lilas qui nous a ravi le regard.

Une belle plante nommée "monnaie du pape". Nous repasserons cet été pour collecter la monnaie.

Une bizarrerie de la nature : certains y ont vu un enfant sur le ventre de sa mère, j’y ai vu droopy, à chacun son imagination !

La rareté de cette journée : une salamandre sur notre chemin.

Qu’est-il arrivé à ces pins : maladie ou sècheresse des étés antérieurs.

Dommage la randonnée se termine déjà et nous finissons sous quelques fines gouttelettes de pluie. Les jambes ne sont pas trop "lourdes" et les visages pas top marqués.

Pas de regrets de rentrer car nous nous retrouverons bientôt sur d’autres chemins. D’ici là portez vous bien.